18 Questions

 Le Dr Joseph Goebbels les a comparés à un essaim de punaises de la pomme de terre qui bourdonnent d'un champ à l'autre. Les insectes ne peuvent s’empêcher de dévorer toutes les cultures dans lesquelles ils dérivent. « Les Juifs détruisent de la même manière les nations et les peuples du monde », observait le bon docteur. Son analogie suggère que les Juifs sont instinctivement poussés à corrompre et à ruiner la civilisation partout où ils la trouvent. Essayer d’en faire de bons chrétiens, comme le suggère Shakespeare dans Le Marchand de Venise, ne fait que leur fournir une autre couverture sous laquelle ils dissimulent leur méchanceté ininterrompue. En tant que parasites nés, aucune reprogrammation ne peut transformer les punaises de la pomme de terre en merveilleux papillons. 

 Même des poursuites judiciaires sévères contre des Juifs individuellement puissants, comme celles infligées récemment au corrupteur casher de Martha Stewart, ou à l’oligarque exploiteur du pétrole, Mikhaïl Khodorkovski, emprisonné en Russie, constituent un insecticide relativement inoffensif. Au lieu de cela, le monde occidental a besoin d’être saupoudré de quelque chose de bien plus inclusif. Un documentaire télévisé national dénonçant la perfidie juive sera mille fois plus efficace que toutes les fonts baptismaux et toutes les condamnations judiciaires réunies. La manière dont les Juifs sont devenus ce qu’ils sont est peut-être révélée par leurs origines anciennes. Ils descendent probablement des habitants sémites de Palestine, peut-être des Cananéens mentionnés dans l'Ancien Testament. Chaque peuple produit une classe criminelle minoritaire, et les Cananéens ont expulsé la leur dans le désert, où les conditions difficiles ont éliminé tous les individus, sauf les plus forts et les plus astucieux. De ce groupe exilé de dangereux marginaux qui ont constitué leur propre pool génétique de traits de survie, la race juive aurait pu éventuellement émerger du statut de petits bandits aux bandits d’entreprise transnationaux d’aujourd’hui. Depuis, ils ne sont plus une nation d’exilés. Un peuple criminel similaire pourrait être créé aujourd’hui si, par exemple, les populations carcérales américaines de criminels héréditaires se croisaient exclusivement entre elles, combinant et transmettant ainsi leur héritage tordu aux générations suivantes de malfaiteurs dans un nouveau groupe génétique. Les conditions exigeantes du désert d’il y a quatre mille ans ou plus auraient également forcé les exilés cananéens à se regrouper et à s’adapter, sous peine de mourir. Beaucoup, peut-être la plupart, l’ont fait. 

Mais suffisamment de personnes – les plus fortes et les plus ingénieuses – ont survécu pour transmettre leur héritage génétique renforcé aux générations successives, créant ainsi une race à part. Les Juifs d'aujourd'hui sont peut-être les descendants de cette ancienne classe de Sémites exilés, malgré une inévitable « assimilation » avec les Gentils au cours des siècles, alors qu'ils erraient de peuple en peuple, se faisant d'abord des victimes innocentes de la « persécution religieuse », puis se rendant indispensables. par le biais de prêts, empoisonnant finalement toute opposition autochtone potentielle qui faisait obstacle à leur accès au pouvoir, dévorant finalement la richesse de la culture d'accueil avant de passer à un autre peuple et de répéter le processus ailleurs. Cela aiderait à expliquer leur malheureuse réputation de punaises humaines de la pomme de terre. Complétant ces spéculations historiques, une interprétation métaphysique soutient que les Juifs font partie de la force même qui caractérise l'existence elle-même ; à savoir l'éternelle confrontation des contraires : la lumière contrastée par l'obscurité, la chaleur contre le froid, la gravité et la matière, la vie et la mort dans tout le règne animal, etc., etc. 

C'est à travers le processus de lutte que la vie devient plus forte et gagne sa place, le droit de survivre, ou bien il succombe et disparaît. De même, la race créatrice suprême de notre planète s’oppose à son opposé polaire. Ce n’est qu’en vainquant les Juifs que l’humanité aryenne pourra accomplir sa destinée divine. Perdre une telle lutte ne doit pas seulement nous priver de notre potentiel encore inexploité, mais nous condamner au même sort qui est arrivé à toutes les autres espèces disparues avant nous : l’extinction. En cela, nous ne sommes pas différents des dinosaures qui n’ont pas réussi à surmonter leurs propres défis. Nous ne différons d’eux que par le fait que, si nous tombions, plus personne ne s’interrogerait à l’avenir sur nos os fossilisés